Que vous cultiviez du canola dans les vastes prairies de l'Alberta, du maïs dans le Sud de l'Ontario ou du soya dans La Belle Province, il n'y a jamais deux parcelles identiques. Conditions de sol, climat et distribution des précipitations, altitude ou caractéristiques topographiques comme les collines et les vallées, tous ont une incidence sur la spécificité d’une parcelle. Ce qui unit les parcelles, c’est la connaissance de leurs particularités par les producteurs qui les ensemencent, les traitent et les récoltent.
Et ce sont justement ces facteurs qui font de Climate FieldView un outil si précieux pour l'agriculture moderne. Dans le passé, chaque producteur possédait, pour chaque hectare, des classeurs débordant de notes ou des carnets remplis de gribouillages sur tout… quantités de pluie historiques, volumes de pulvérisation, etc.
Désormais, avec Climate FieldView, les producteurs disposent d'un endroit unique pour collecter et stocker en temps réel toutes ces données de terrain. Il s'agit en fait d'un référentiel permettant d'organiser les innombrables connaissances que chaque agriculteur accumule dans son cerveau (et dans ses classeurs). Jetons un coup d'œil sur trois applications de Climate FieldView pour découvrir comment elles aident les producteurs agricoles canadiens à maximiser la rentabilité de chaque hectare.